« L’Afrique qui parle portugais » : c ’est le titre du XIV ème salon du livre à Belém inauguré le 27 août au « Hangar centro de convençoês » et qui a réuni dès ce premier soir vingt cinq mille personnes.
Six cents mille sont attendues pour les dix jours d’ouverture jusqu’au 5 septembre. L’année dernière plus de cinq cents mille visiteurs ont parcouru les différents stands au nombre de 178 pour cette version 2010. En tout, quatre cents exposants participent à cet évènement inauguré par Cincinato Marques, secrétaire d’Etat à la Culture du Para.
La Guyane est présente à cette manifestation à travers un partenariat avec l’Alliance française et l’association Promolivres qui elle-même participe à cet évènement annuel depuis 2001.
Sur le stand commun, Promolivres association qui fait la promotion de la littérature présente les nouveautés de Guyane et d’autres ouvrages. Trois auteurs guyanais sont invités : Sylviane Vayaboury, Raphaël Létard rencontreront les étudiants à l’Alliance française de Belém le mardi 31 août à 19h. Au salon, le 1er septembre, ils interviendront sur le stand avec les élèves de l’école Alexandre Zacarias. Le 2 septembre, Raphaël Létard se rendra à l’école Duque de Caxias où le professeur de français Nelci Brasil le recevra avec ses élèves. Ce même jour, Sylviane Vayaboury répondra aux questions des étudiants du département de français de l’université fédérale du Para avec leur professeur Maïsa Navarro. Le troisième auteur, René-Claude Coëta s’entretiendra avec les élèves de l’école IEP sur le stand du salon.
Dès le premier jour de cette « Feira pan-Amazônica do livro, un séminaire d’études africano-amazonienne aborde les thèmes de l’esclavage dans l’état du Para et des religions nègres en Amazonie. Basées sur les thématiques « Littérature, information et musique », « Littérature et théâtre », « Littérature et cinéma », des représentations, des projections , des spectacles, des concerts sont associés à la promotion du livre.
Ce salon rend aussi hommage au poète paraense : Bruno de Menezes dont la voix venue du son des tambours a exprimé la négritude brésilienne notamment dans son recueil « Batuque » publié en 1931 et que la revue « Présence africaine » a présenté comme une construction unique et exceptionnelle dans la poésie larino-américaine d’expression nègre.
L’Afrique est très présente dans ce salon et chaque stand a mis en vedette les ouvrages qui y font référence. Si les écrivains de l’Afrique lusophone ne sont pas présents pour les dédicaces, les auteurs du Para occupent tout l’espace dans ce rapport direct avec le public et comme tous les ans un stand leur est tout spécialement consacré au sein de tous ceux qui ont opté pour un design africain notamment celui de la Séduc où trône une immense girafe en métal recyclé et une architecture de terre inspirée des constructions africaines.
db
Six cents mille sont attendues pour les dix jours d’ouverture jusqu’au 5 septembre. L’année dernière plus de cinq cents mille visiteurs ont parcouru les différents stands au nombre de 178 pour cette version 2010. En tout, quatre cents exposants participent à cet évènement inauguré par Cincinato Marques, secrétaire d’Etat à la Culture du Para.
La Guyane est présente à cette manifestation à travers un partenariat avec l’Alliance française et l’association Promolivres qui elle-même participe à cet évènement annuel depuis 2001.
Sur le stand commun, Promolivres association qui fait la promotion de la littérature présente les nouveautés de Guyane et d’autres ouvrages. Trois auteurs guyanais sont invités : Sylviane Vayaboury, Raphaël Létard rencontreront les étudiants à l’Alliance française de Belém le mardi 31 août à 19h. Au salon, le 1er septembre, ils interviendront sur le stand avec les élèves de l’école Alexandre Zacarias. Le 2 septembre, Raphaël Létard se rendra à l’école Duque de Caxias où le professeur de français Nelci Brasil le recevra avec ses élèves. Ce même jour, Sylviane Vayaboury répondra aux questions des étudiants du département de français de l’université fédérale du Para avec leur professeur Maïsa Navarro. Le troisième auteur, René-Claude Coëta s’entretiendra avec les élèves de l’école IEP sur le stand du salon.
Dès le premier jour de cette « Feira pan-Amazônica do livro, un séminaire d’études africano-amazonienne aborde les thèmes de l’esclavage dans l’état du Para et des religions nègres en Amazonie. Basées sur les thématiques « Littérature, information et musique », « Littérature et théâtre », « Littérature et cinéma », des représentations, des projections , des spectacles, des concerts sont associés à la promotion du livre.
Ce salon rend aussi hommage au poète paraense : Bruno de Menezes dont la voix venue du son des tambours a exprimé la négritude brésilienne notamment dans son recueil « Batuque » publié en 1931 et que la revue « Présence africaine » a présenté comme une construction unique et exceptionnelle dans la poésie larino-américaine d’expression nègre.
L’Afrique est très présente dans ce salon et chaque stand a mis en vedette les ouvrages qui y font référence. Si les écrivains de l’Afrique lusophone ne sont pas présents pour les dédicaces, les auteurs du Para occupent tout l’espace dans ce rapport direct avec le public et comme tous les ans un stand leur est tout spécialement consacré au sein de tous ceux qui ont opté pour un design africain notamment celui de la Séduc où trône une immense girafe en métal recyclé et une architecture de terre inspirée des constructions africaines.
db
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